Pour le premier article de notre tout jeune blog, nous avons décidé de partager avec vous ce qui a motivé la mise en place de ce nouvel outil de communication, et de vous parler des travaux en cours cet été.

Un blog ? Mais pourquoi donc ?

Gephyre éditions a désormais son blog. « Mais à quoi ça sert, puisque tout le monde est sur les réseaux sociaux ? », vont demander certains esprits pinailleurs. Eh bien, ce n’est pas uniquement par nostalgie de l’effervescence de la blogosphère du début des années 2000 ; c’est surtout pour éviter que notre communication ne passe que par les réseaux sociaux ; et cela va permettre aux Internautes allergiques à ces mêmes réseaux de pouvoir suivre notre activité.
Ceci dit, passons aux travaux en cours cet été.

Communication

Depuis quelques jours est née une chaîne YouTube Gephyre sur laquelle vous pourrez découvrir entre autres les présentations vidéo de nos titres. Ce qui implique un gros travail de création, bien sûr.

Nous continuons à prendre contact avec les personnes intéressées par la lecture et qui aiment partager sur les réseaux sociaux et via leurs blogs, afin de faire connaître le plus largement possible les formidables de nos autrices & auteurs.
Ce qui nous amène au point suivant.

Éditorial

Au printemps sont parus nos trois premiers titres : La Légende des plumes mortes, superbe roman tout en finesse de Maëlig Duval ; Fragments de fleurs aux pétales cramoisis, recueil de textes d’ambiance très puissants de Santiago Eximeno et traduits avec talent par Jacques Fuentealba ; et Mission Kitchenette, le livre de cuisine humoristique, décalé, déjanté et très bien documenté de Frank Arif et Olivier Gechter. Depuis quelques jours, La Légende des plumes mortes est disponible également en version numérique – et les deux autres le seront sous peu.

Blog - La légende des plumes mortes en version numérique
Vous êtes peut-être en train justement de lire La Légende des plumes mortes sur votre liseuse tout en profitant de vos vacances, mais dans le monde du livre, l’automne est déjà là ! Pour notre première « rentrée littéraire », nous avons choisi d’éditer… une série : l’intégrale de la première saison de Toxic, créée par Stéphane Desienne, initialement parue en numérique aux excellentes éditions Walrus. En ce moment, nous sommes en pleine course contre la montre pour la relecture de la maquette.

Blog - Les deux volumes de Toxic - saison 1
Prochaine étape : l’envoi à l’imprimerie des pages intérieures et de la couverture !
Et une fois les livres imprimés, il faut les vendre…

Commercial

Parce qu’éditer, ce n’est pas seulement préparer les livres et les faire imprimer, c’est aussi les faire découvrir aux libraires. Quand une maison d’édition est suffisamment importante, elle peut payer les services d’une société de distribution ; mais nous qui venons de démarrer, nous assurons nous-mêmes la diffusion (la « promotion ») et la distribution (la logistique et la facturation) de nos titres.
Cet été, nous avions pour objectif d’augmenter le nombre de points de vente où vous pouvez trouver nos titres. C’est ainsi que depuis quelques jours, vous pouvez les trouver à Angers chez Contact. Vous pouvez bien sûr nous contacter si votre librairie préférée ne figure pas encore sur notre carte des librairies !

C’est tout ?

Pas du tout ! Nous travaillons aussi sur (dans le désordre) : le planning 2019-2021, la gestion financière, la réflexion sur des animations pour le Mois de l’Imaginaire et la fin d’année, la préparation de la direction éditoriale des titres du printemps, notre stratégie « livres numériques »…
Et aussi le lancement de l’association.

L’association

Gephyre éditions est une structure associative : nous lançons aujourd’hui une campagne de recrutement des membres qui seront là pour nous soutenir dans l’animation et la communication. En un slogan : « We need you ! ».

Blog - Adhésion à l'association Gephyre

 

Pour conclure ce premier article, nous espérons que vous apprécierez notre travail et nous soutiendrez dans notre ambition, qui est de bâtir « des ponts dans l’imaginaire » – parce que l’on a davantage besoin de ponts que de murs (même si c’est plus difficile à bâtir et à maintenir).