Description
Les formidables aventures de Jason & Robur journalistes extradimensionnels saison 2
Jacques FUENTEALBA
Rien ne va plus chez Mondes parallèles ! Jason & Robur n’ont pas réussi à partir en vacances, le rédac’chef s’est trouvé une passion pour les tarots, et désormais Tania, la tech’ transfuge de la revue concurrente, a tellement pris ses aises qu’elle retape de vieux véhicules interdimensionnels dans la tour des bureaux. Avec tout ça, et entre deux parties coquines, impossible pour Jason d’acquérir de certitudes quant à cette étrange vérité entraperçue à la fin de la saison précédente…
Et comme si ça ne suffisait pas, on les renvoie en reportage. Monde technomagique, clonage sauvage, guerres multidimensionnelles, et même coulisses des Enfers, rien ne leur sera épargné !
Cette intégrale de la deuxième saison comporte trois épisodes, à lire après l’intégrale de la saison 1.
Table des (anti)matières :
Épisode 1 : Pour une poignée de sortilèges !
Épisode 2 : À la guerre comme à la guerre !
Épisode 3 : Et moi et moi et moi !
Jason & Robur, le premier feuilleton littéraire de science-fantasy !
240 pages – grand format 14 * 21 * 2 cm – reliure dos collé cousu – couverture illustrée avec rabats
Deuxième saison intégrale
— Qu’allez-vous faire de nous ? demandai-je alors qu’il l’ouvrait et nous forçait à y entrer, du bout de son bâton de mage.
Il nous fixa un long moment de ses yeux bovins, semblant ruminer ses mots avant de finir par nous lâcher :
— On est encore en train de statuer sur votre cas.
— Qui, on ? voulut savoir à son tour mon frère.
Il coinça le pied dans la porte. Peut-être pensait-il, par un raisonnement à la logique bizarre, obliger le minotaure à lui répondre en agissant ainsi.
— Dimitri Ugern aimerait bien vous récupérer pour Univers perpendiculaires, je crois…
— Jamais ! s’étouffa Robur.
— … en vous défigurant et en vous reconditionnant, pour que personne ne puisse vous reconnaître.
— Hé, mais c’est carrément dégueu ! hoquetai-je.
— Bah, c’est tout à fait son style, commenta Tania, impassible.
— Heureusement, vos autres complices, plus réfléchis, veulent notre libération ! s’écria mon frère, plein d’espoir.
— Pas du tout. M. Glizoog rêve de vous voir morts. Passez une bonne nuit !